Peste en soit de vos vies
Et que misère vous embrase !

Il fallut que vous mettiez
Votre grain de sel
Dans notre relation à plaie ouverte.

Un peu plus de sang sur les mains,
La conscience éparpillée…

En venin d’apparat
La procession des cultistes furieux
Martèle le sol d’un pas sourd
Et à l’étang des insoumis
Etanche son inextricable soif
D’un mépris passionnel.

Brûlez ! Brûlez !
Au bûcher des offrandes aux vertus incongrues.
Brûlez ! Brûlez !