2008 mar. 21
S’il ne fallait qu’un jour…
17:01 - Par Adrien Lambert - Lien permanent
Un petit matin d’une nuit de Novembre,
Où encore s’arrachent quelques clichés jaunis,
D’une aube qui s’encombre d’un tas de «on-dit».
Pas un bruit ne crève
Le silence des gens heureux.
Je t’attendais de mes bras affamés
Et de mes pensées bercées d’innocence
Dans un état d’inconscience et déjà sous l’emprise
D’un cœur qui frémit, de ton cœur qui m’enivre,
Jusqu’à m’en couper le souffle, je respirais pour toi.
Ni le soleil levant, ni le jour suivant,
Ne me raviront cet exquis sentiment
Que même m’envient les oiseaux du paradis.
Scellé d’un baiser au charme malicieux,
C’est ainsi que tout commença…