2010 mai 18
Lisse
17:15 - Par Adrien Lambert - Lien permanent
Des visages d’opale
Inanimés d’étrange
Veillent au grain
Sur le fou qui s’éveille.
Il s’étire en soupirs,
Dévisagé comme nouveau-né
Par l’absurde vérité
De ces visages déments
Ne jurant qu’au diamant
Et bien incapable d’apprécier
La moindre petite
Impureté.
Dépité, point rancunier,
L’indomptable ritournelle
S’éclipse en riant
En plissant malicieux
Un regard d’au revoir
Pour un monde si capricieux.