2010 avr. 11
À bascule
22:22 - Par Adrien Lambert - Lien permanent
Au crépuscule de la jeunesse
Se bousculent regrets et paresse.
C’est ainsi le berceau
De bien nombreux fardeaux,
De tout ce qu’on oublie,
Des amours et des amis,
Un peu plus chaque soir,
Seul, à se raconter des histoires…