La fine fleur du destin
Marche au son des sirènes
Et des abois à l’ordre
D’une milice servile
Qui écho avec fracas
Les cris et les peurs
D’une jeunesse ébranlée
Qui n’a pour pleurer
Plus même une simple larme
Après tant d’acharnement
À fermer les yeux sur tout
Et surtout sur nous.