2010 janv. 13
Langue charitable
00:49 - Par Adrien Lambert - Lien permanent
À l’hôpital des tabous
On soigne les tristes hordes
D’esprits étriqués
Et de langues figées dans le bois
Avec l’étrange espoir
De rapprocher les uns des autres
Nos corps abimés
De nos âmes à la dérive.
On soigne les tristes hordes
D’esprits étriqués
Et de langues figées dans le bois
Avec l’étrange espoir
De rapprocher les uns des autres
Nos corps abimés
De nos âmes à la dérive.