2009 déc. 18
Ces gens-là
17:14 - Par Adrien Lambert - Lien permanent
On s’agrippe aux gens
Comme à des tissus de mensonges
Qu’on nourrit avec regrets
En colportant impunément
Des fables éhontées
Sans queue ni tête
Ni début, ni fin,
Le cycle est éternel
On ne vit plus pour soit
Mais pour leur ressembler
Et dans notre malheur,
Les détester.
      Comme à des tissus de mensonges
Qu’on nourrit avec regrets
En colportant impunément
Des fables éhontées
Sans queue ni tête
Ni début, ni fin,
Le cycle est éternel
On ne vit plus pour soit
Mais pour leur ressembler
Et dans notre malheur,
Les détester.