2009 août 3
Va, Cours, Viole, Cours et nous venge !
10:29 - Par Adrien Lambert - Lien permanent
Vers une autre réalité,
Un corps démembré
Pour une poignée de deniers
Aux mains des gens d’là-bas
Et du silence de la mafia,
Le trafique est sans frontières
On vend, on pille, on tue,
Les femmes et les enfants d’abord
Sur l’trottoir et ça pue la mort
À chaque passe c’est l’impasse
La bouche cousue mais grande ouverte
Dessus mais sans dessous
Un œil sur le flingue
Un flingue sur la tempe
Le troc est rentable
Ton sexe contre ma tune
La peur au fond du bas-ventre
Et le peuple sait
Que l’heure tourne
Et que la tienne est proche
Mais il s’en lèche le coude
Car au fond à quoi bon ?
N’est-on pas mieux ici,
Bien caché dans son pieu’
À s’abrutir devant la télé
Plutôt que de faire face
À la triste vérité.
Un corps démembré
Pour une poignée de deniers
Aux mains des gens d’là-bas
Et du silence de la mafia,
Le trafique est sans frontières
On vend, on pille, on tue,
Les femmes et les enfants d’abord
Sur l’trottoir et ça pue la mort
À chaque passe c’est l’impasse
La bouche cousue mais grande ouverte
Dessus mais sans dessous
Un œil sur le flingue
Un flingue sur la tempe
Le troc est rentable
Ton sexe contre ma tune
La peur au fond du bas-ventre
Et le peuple sait
Que l’heure tourne
Et que la tienne est proche
Mais il s’en lèche le coude
Car au fond à quoi bon ?
N’est-on pas mieux ici,
Bien caché dans son pieu’
À s’abrutir devant la télé
Plutôt que de faire face
À la triste vérité.