Les corps s’émancipent
Les esprits s’accroupissent
L’indifférence blesse
La chaire réclame son dû,
Son soubresaut béat,
Alors que les uns crient
Et que les autres pleurent.
Au désespoir de tous
Puisque au final, seul,
Le bonheur n’a plus lieu d’être
Et que la vie s’enlise
À jouer des uns avec les autres.