Dans la moiteur des tripots
De Shanghai à New Delhi,
Les odeurs de rats humains
Fleurissent comme la peste
Au cœur des bordels
Et des infamies de sexuelles,
L’objet de convoitise
Des animaux en prise
A l’instinct perfide,
A l’haleine fétide
Qui rodent en peine
Aux abois et aguets
Pour un peu de chair fraiche,
Pour un dernier baiser…