Les pieds par la fenêtre
A la portée des toits,
Le monde s’ouvre béant
En proie à nos regards.

On se laisse volontiers,
Par tant de liberté,
Rêver à petit feu
Dans les bras l’un de l’autre.

Pour une nuit aussi belle
A tes côtés, ma muse,
J’aurais sans hésiter
Voler le temps au temps.