L’homme est un enfant naïf,
Il se leurre comme il respire.
Dans un élan d’égo,
Il prétend être maître
De choses qui le dépassent.

Mais l’histoire toujours,
Se place en témoin
Des failles répétées
De notre vision limitée
Qui nous joue tant de tours.

Et au-delà des guerres,
Au-delà de morts,
C’est notre soif d’inconnu
Et de rêves par procuration
Qui signera notre perte.