Encore un de ces soirs sur fond d’idées vagabondes,
Où j’envie tes démons intérieurs.
J’y ai déjà sacrifié le temps.
Je ne peux qu’être spectateur de mon propre désarroi.
Il crie, il hurle.
Où es-tu ?
Ton absence le tourmente.
Ton absence me dérange.
Où es-tu ?
Je peux voir le monde mais pas le toucher,
J’en suis si près, reviens.
J’effleure…

J’entaille les veines de diamants,
En offrande à l’impossible.