La colère du juste
Sommeil en chacun
Et y meurt de même.

Enfin, plutôt « devrait ».

Le courroux latent
Parfois part en croisade
Pour calmer cette voix
Qui crie de l’intérieur
Et frappe à la paroi de nos corps.

La violence engrangée
De notre vie d’oppressé
Nous échappe en hurlant,
En hurlant qu’elle souffre
Comme jamais elle n’aurait du
Et que maintenant libérée,
Elle sera émissaire de souffrance
Jusqu’à ce qu’elle meurt de nouveau
D’épuisement à la tâche.

Dans l’attente de renaître…